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sábado, 15 de mayo de 2010
Le vrai Che Guevara, le boucher de La Cabaña.
Homme fort dans l’administration castriste, Ernesto Guevara a eu l’occasion de revêtir une casquette de directeur de prison. Là encore, le gentil « Che » a pu faire étalage de toute sa bonté.
En poste cinq mois à « La Cabaña », à partir de janvier 1959, Guevara a fait exécuter ses adversaires – appliquant toujours avec autant de rigueur ses principes révolutionnaires criminels – à un rythme effreiné. Plus de 550 opposants à la dictature marxiste ont ainsi été fusillés dans le cours laps de temps où Guevara dirigeait la Cabana.
Ces nombreuses exécutions ont valu au « Che » un surnom bien mérité : le boucher de la Cabana.
Il faut savoir que Guevara, à ce moment là, disposait déjà d’un pouvoir de vie et de mort sur tous les cubains : il décidait des arrestations, chapeautait les parodies de procès dont le verdict était malheureusement toujours connu à l’avance et signait les arrêtés d’exécution, le tout en tant que « procureur suprême » de la prison.
Les témoins les plus intéressants sont sans doute ceux qui se trouvaient au côté de Guevara à cette époque. Ainsi un procureur en service à la Cabana à cette époque raconte : « les faits étaient jugés sans aucune considération pour les principes judiciaires généraux ». A quoi il ajoute : « les éléments présentés par l’officier investigateur étaient considérés comme des preuves irréfutables [...] il y avait des membres de familles de victimes du régime précédent parmi les jurés ». Ce que les médias de l’époque, même américains, avaient même oublié de mentionner ; il était simplement question de procès équitables...
Reste qu’il faut rappeler que Guevara avait une théorie très particulière autour des exécutions : « les exécutions sont non seulement une nécessité pour le peuple de Cuba mais également un devoir imposé par ce peuple ». Drôle de couverture.
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